De prime abord, Arthur Conan Doyle n a pas souhaité, lui, souscrire au crime par empoisonnement qui fit les beaux jours de ses confrères écrivains. Est-ce parce que en tant que médecin, la ficelle lui apparaissait trop grossière ? Ou bien parce que ses passions de lecteur le portaient à imaginer de plus sombres machinations que de « simples » empoisonnements constatés après un repas ?